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10 réponses sur 15 fiches trouvées, Pages : [1] 2

30/09/2024   Nous avons déménagé !

Retrouvez-nous 9, allée François-Joseph Broussais à Vannes proche de la clinique Océane

18/09/2024   Nouveaux locaux

Retrouvez-nous au 9, allée François-Joseph Broussais, proche de la Clinique Océane

02/08/2023   Aides énergies

La Région Bretagne accompagne financièrement les commerçants artisans face à l'augmentation des coûts de l'énergie.

La Région Bretagne accompagne financièrement les commerçants artisans face à l'augmentation des coûts de l'énergie.

Ce dispositif « Énergie Commerce & Artisanat, sera ouvert du 17 juillet au 31 décembre 2023.
Il s'adresse aux commerçants et artisans :
- avec un Chiffre d'affaire inférieur à 2 millions d'Euros
- de moins de 10 salariés,
- qui ont subi une augmentation importante de leurs factures énergiques (+50% sur le 1er trimestre 2023)
- qui ne sont pas couverts par le bouclier tarifaire de l'État.
Cette aide ponctuelle prend la forme d'une subvention d'un montant de 500 à 2 500 Euros, versée une fois, afin d'apporter un soutien au règlement des factures d'énergie de 2023.
Les demandes seront à déposer de façon dématérialisée sur le site Bretagne.bzh (déposer une demande - https://www.bretagne.bzh/aides/fiches/dispositif-energie-commerce-artisanat/) ; une adresse dédiée est également disponible pour toute question sur ce dispositif (energie-commerce-artisanat@bretagne.bzh)
L'ensemble des modalités de fonctionnement de ce dispositif sont présentées dans le fiche en pièce jointe.

28/06/2021   Appel à Candidature

Pour exploitation d'un Hôtel-Restaurant situé sur le domaine du port de La Trinité sur Mer

Il s'agit d'un établissement comprenant un hôtel 3 étoiles (11 chambres) et deux restaurants avec terrasses (245 couverts au total), idéalement situé sur le port de La Trinité sur Mer.

https://centraledesmarches.com/marches-publics/Compagnie-des-Ports-du-Morbihan-Autorisation-d-occupation-du-domaine-public-Port-de-La-Trinite-sur-Mer-56470-hotel-restaurant/6146390

15/01/2021   Annonces aides économiques - Bruno Le Maire Conférence de presse – Covid-19

ℹ️ Fonds de solidarité : ce qui change
📌1er changement :
Le produit de la vente à distance et de la vente à emporter ne sera pas comptabilisé dans le chiffre d'affaires de référence pour le calcul de l'aide au titre du fonds de solidarité.
Cela vaut à partir du mois de décembre 2020 et ce sera la règle tant que le fonds de solidarité sera en place.
📌2ème changement :
Les entreprises du secteur S1 bis perdant au moins 70 % de leur chiffre d'affaires, auront le droit à une indemnisation couvrant 20% de leur chiffre d'affaires 2019 dans la limite de 200 000 euros par mois.
Ces entreprises pourront bénéficier de cette aide à compter de décembre 2020, quelle que soit leur taille.
📌3ème changement :
Nous prendrons en charge jusqu'à 70% des coûts fixes des entreprises fermées administrativement, ou des entreprises appartenant au secteur S1 et S1 bis, qui ont un chiffre d'affaires supérieur à 1 million d'euros par mois.
Cette aide exceptionnelle s'ajoutera à l'aide du fonds de solidarité.
Elle sera plafonnée à 3 millions d'euros sur la période de janvier à juin 2021.
Nous travaillons également à étendre l'aide complémentaire sur les charges fixes aux plus petites structures qui ne feraient pas 1 million d'euros de chiffre d'affaires par mois mais qui auraient d'importantes charges fixes. Je pense notamment aux salles de sport, aux activités indoor, centres de vacances.
📌4ème changement :
Un effort particulier sera fait pour les viticulteurs, touchés par les sanctions américaines sur les vins tranquilles et le cognac.
Les viticulteurs pourront donc bénéficier de l'aide du fonds de solidarité renforcé :
- S'ils perdent 50% de leur chiffre d'affaires, ils bénéficieront d'une indemnisation de 15% de leur CA 2019 dans la limite de 200 000 euros par mois ;
- S'ils perdent 70% de leur chiffre d'affaires, ils bénéficieront d'une indemnisation de 20% de leur CA 2019 dans la limite de 200 000 euros par mois.
Pour rappel, les formulaires pour les aides du fonds de solidarité au titre de décembre seront en ligne dès demain vendredi 15 janvier sur le site impots.gouv.fr.
ℹ️ Prêt garanti par l'Etat
Nous avons obtenu de la Fédération bancaire française, que toutes les entreprises qui le souhaitent, quelles que soit leur activité et leur taille, aient le droit d'obtenir un différé d'un an supplémentaire pour commencer à rembourser leur prêt garanti par l'Etat.
Une entreprise ayant contracté un PGE en avril 2020, et qui ne serait pas en mesure de commencer à le rembourser en avril 2021, pourra demander un report d'un an et commencer à le rembourser à partir d'avril 2022.
J'invite donc toutes les entreprises à aller voir leur conseiller bancaire pour décider du plan de remboursement de leur PGE.
ℹ️Autres prêts bancaires
Les banques examineront favorablement et de manière personnalisée les moratoires ou les reports d'échéances nécessaires pour les entreprises subissant toujours des restrictions d'activité.
ℹ️ Exonération de cotisations sociales
Nous maintenons en janvier les exonérations et les aides au paiement des cotisations que nous avons mises en place en décembre.
Toutes les entreprises du secteur S1 et S1 bis qui sont fermées administrativement ou qui subissent une baisse d'au moins 50% de leur chiffre d'affaires continueront d'en bénéficier.
Différé d'amortissement comptable des biens
De très nombreux biens n'ont pas été utilisés comme ils auraient dû l'être en 2020. Je pense au four des restaurateurs, aux équipements des discothèques ou à certaines machines des sociétés de remontées mécaniques.
Ces biens n'ont donc pas à être amortis comme c'est le cas lors d'une année normale.
Il sera possible de différer l'amortissement comptable de ces biens afin de soulager les comptes des entreprises et de préserver leurs fonds propres.
Conclusion :
A mes yeux, il y a trois enjeux stratégiques dans les semaines à venir.
1er enjeu : que les Français investissent les 100 milliards d'euros qu'ils ont épargnés depuis mars 2020.
Pour cela, je réaffirme qu'il n'y aura pas d'augmentation d'impôts.
2ème enjeu : accélérer la relance de notre économie et décaisser le plus rapidement possible les 100 milliards d'euros du plan de relance.
3ème enjeu : renforcer les fonds propres des entreprises qui en ont besoin.
Notamment grâce aux prêts participatifs soutenus par l'Etat. A ce titre, je présenterai le 28 janvier prochain les modalités de ces prêts.

16/12/2020   Mise à disposition des salles polyvalentes pour le BTP : L'Etat installe des restaurants clandestins

Alors que le bâtiment réclame depuis plusieurs semaine une dérogation spéciale pour faire déjeuner les ouvriers, le Gouvernement, par la voix des ministres Jacqueline Gourault, ministre de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales et Alain Griset, ministre délégué en charge des TPE/ PME ont publié un communiqué pour annoncer la mise à disposition de salles polyvalentes pour la pause déjeune des salariés du secteur du BTP.
L'Etat a choisi la mise en place des restaurants clandestins dans les salles polyvalentes. L'Etat accorde donc une dérogation pour les salles polyvalentes pour accueillir du public pour se restaurer et refusent une telle exception sur les salles de restaurants indépendants.
Pour l'UMIH, l'Etat organise une concurrence déloyale vis-à-vis de nos restaurateurs qui sont déjà à bout économiquement et psychologiquement.
Les ouvriers du bâtiment sont nos clients réguliers, hors temps de crise sanitaire, et à l'instar des routiers ou des équipes sportives qui bénéficient de dérogations nationales ou départementales, les ouvriers du bâtiment doivent pouvoir bénéficier d'un plat chaud dans nos établissements. Nous apparaissons comme la solution la plus logique pour répondre aux alertes des fédérations professionnelles du BTP et de l'association des maires ruraux de France (AMRF).
Nos restaurants sont prêts à recevoir les ouvriers du bâtiment dans des conditions sanitaires optimales. En effet, ils appliqueraient tous le protocole sanitaire renforcé comme les restaurants routiers ou la restauration collective. Cette dérogation permettrait à nos professionnels de travailler et de ne plus dépendre essentiellement des aides de l'Etat ni de sombrer dans la détresse psychologique.
« Qu'est-ce qui ne tourne plus rond au Gouvernement ? Alors qu'il suffisait, comme nous le demandions, d'ajouter les ouvriers aux routiers dans la liste des dérogations d'ouverture figurant dans le décret du 14 décembre 2020. Le Gouvernement continue de prendre des décisions pour empêcher nos professionnels de travailler. Le Gouvernement refuse de voir le désarroi et le désespoir de toute une profession qui se réunit partout en France depuis des semaines pour crier « laissez-nous travailler et « faites-nous confiance ». Roland Héguy, président confédéral de

02/11/2020   Accompagnement des entreprises et des travailleurs indépendants : communiqué de presse de l'Acoss

Madame, Monsieur,

Suite à la dégradation de la situation sanitaire, de nouvelles mesures immédiates d'accompagnement des entreprises et des travailleurs indépendants en difficulté sont prises par le réseau des Urssaf, en accord avec les orientations annoncées par les pouvoirs publics.

Ces premières mesures sont présentées dans le communiqué de presse de l'Acoss (Caisse nationale des Urssaf) que nous vous invitons à trouver, en pièce jointe.
Elles concernent notamment les toutes prochaines échéances de déclaration et de paiement des cotisations sociales pour les employeurs, les travailleurs indépendants (artisans, commerçants, professions libérales) et les auto-entrepreneurs.


Pour plus d'information sur les mesures exceptionnelles, les Urssaf mettent également à disposition un site dédié :

https://mesures-covid19.urssaf.fr.

29/10/2020   Un nouveau coup d'arrêt pour l'hôtellerie-restauration qui exige des mesures fortes, claires et responsables pour leur

La pandémie se développe et n'est plus sous contrôle, la France doit se confiner. Tels sont, en substance, les propos tenus ce soir par le Président de la République. Dans la foulée, il a annoncé une nouvelle fois, que des mesures doivent être mises en Âœuvre pour renforcer la lutte contre la propagation du virus et venir en aide aux entreprises empêchées de travailler.
Ainsi, en dépit du respect d'un protocole sanitaire renforcé sur l'ensemble du territoire et de leur participation active et responsable à la lutte contre la propagation de virus, tous les professionnels, qu'ils soient, hôteliers, cafetiers, restaurateurs, traiteurs organisateurs de réceptions ou discothécaires, se voient encore une fois interdire d'exercer leur activité du fait des mesures de confinement imposées par l'État.

« Cette fermeture contrainte et brutale de nos établissements sonne un nouveau coup d'arrêt pour nos professionnels qui oblige le Gouvernement à prendre des mesures fortes, claires et responsables pour leur venir en aide », déclarent à l'unisson les Organisations professionnelles du secteur, GNC, GNI, UMIH et SNRTC.
« Les professionnels exigent de la visibilité, ils veulent savoir quelles sont les aides mises à leur disposition et pour combien de temps », ajoutent ces organisations.
Dans la lignée de ses précédentes déclarations communes et des réunions de travail avec le Gouvernement, la profession unie demande, aussi longtemps que les mesures sanitaires perdureront et pour toute la filière des CHR Café, Hôtels et Restaurants :
- Un accès au Fonds de solidarité pour toutes les entreprises, sans effet de seuil de salariés notamment, ni condition liée à la forme juridique de l'entreprise ou à l'importance de sa perte de chiffre d'affaires. Ce fonds de solidarité doit venir compenser les charges fixes qui continuent de courir pour nos professionnels (électricité, abonnementÂ…) à hauteur de 10 000 euros par mois ;
- Une solution urgente au problème des loyers, qui doit être déconnecté du fonds de solidarité, au moyen d'un crédit d'impôts incitant fortement les bailleurs à abandonner toute ou partie des loyers dus par les professionnels locataires ;
- Des exonérations de charges sociales patronales pour toutes les entreprises sur toute l'année 2020 ;
- Le maintien du dispositif de chômage partiel aux conditions d'indemnisation actuelles, congés payés induits inclus, sans reste à charge, au-delà du 31 décembre 2020 et aussi longtemps que les contraintes et restrictions sanitaires perdureront.
- La prise en charge de la perte d'exploitation causée par cette nouvelle fermeture administrative ou la mise à l'arrêt des établissements comme les hôtels, en l'absence de touristes, par les assurances, qui cette fois-ci ne sauraient se défiler en arguant d'une situation inédite.

Le secteur est dans une crise inédite. Il a déjà perdu plus de 150 000 emplois. La survie des hôtels, cafés, restaurants, discothèques et traiteurs organisateurs de réceptions se joue maintenant.
Le gouvernement doit assurer les professionnels de sa volonté de les aider maintenant et dans la durée par des mesures aussi fortes qu'indispensables et urgentes.

26/10/2020   L'UMIH dépose un recours gracieux auprès du Premier ministre pour ouverture des débits de boissons

A l'instar du SNEG & Co, syndicat des lieux festifs et de la diversité, l'UMIH a adressé un recours gracieux au Premier ministre pour demander l'autorisation d'ouverture des débits de boissons (bars sans activité de restauration) entre 6h et 21h dans les zones de « couvre-feu ».
Le décret du 16 octobre 2020 interdit partout en zones de « couvre-feu » l'ouverture des débits de boissons alors que les restaurants et les établissements étant à la fois restaurants et débits de boissons (bars/restaurants) peuvent eux poursuivre leur activité en dehors des horaires de « couvre-feu » dans le respect d'un protocole sanitaire renforcé.
Outre que cette interdiction constitue une atteinte grave et immédiate à la liberté d'entreprendre et fragilise économiquement les débits de boissons, elle crée une distorsion de concurrence inédite entre établissements relevant d'une même nomenclature. En effet, à l'heure du confinement, puis du déconfinement, aucune distinction n'a été faite entre ces établissements.
Par ailleurs, en termes de contrôles, cette distinction n'apparaît pas clairement aux autorités de police, nationale ou municipale.
L'esprit du texte, visant à faire respecter les gestes barrières et la distanciation sociale pour lutter contre l'épidémie de Covid-19 n'est aucunement remis en cause si les débits de boissons respectent, comme les restaurants et les bars/restaurants, ces mêmes mesures et le protocole sanitaire renforcé défini par le ministère de la Santé le 5 octobre dernier.
Comme les restaurants et les bars/restaurants, les débits de boissons qui ne respecteront pas ces mesures pourront être verbalisés et sanctionnés.
Conscients de la nécessite de lutter contre la propagation de l'épidémie, les débits de boissons réclament un traitement équitable à ceux de leurs confrères proposant une activité similaire.
Ci-joint le recours envoyé au Premier ministre.

18/06/2020   Je soutiens le MONDE DE LA NUIT

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BUTAGAZ SAS ATOME ASTART VERSPIEREN LA PETITE AGENCE WEB SCL Qualité BACTINET ADEME AKTO BRETAGNE
mise a pied / licenciement / licence alcool / licenciement / syndicat / restaurant / redaction des contrats de Travail / discotheque
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